La réalisatrice de "Je danse donc je suis", Aissata Ouarma, reçoit un visa « passeport talent »

Le 3 septembre 2019, Bernard Nédélec, Consul de France à Ouagadougou, et Patrick Hauguel, attaché culturel et directeur délégué de l’Institut français ont remis à la réalisatrice Aissata Ouarma son visa « passeport talent ».

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Le 3 septembre 2019, Bernard Nédélec, Consul de France à Ouagadougou, et Patrick Hauguel, attaché culturel et directeur délégué de l’Institut français, ont remis à la réalisatrice Aissata Ouarma son visa « passeport talent ».

Il permettra à la réalisatrice de poursuivre le projet d’écriture de son prochain film avec le soutien de structures et d’artistes audiovisuels français. Elle continue ainsi un cursus ponctué entre autre d’une formation à l’université d’été de la prestigieuse école nationale supérieure de l’image et du son à Paris, la « FEMIS ».

En effet, son parcours est ponctué d’aller-retour entre l’Afrique et l’Europe. En 2013, elle décide d’achever sa formation en cinéma et passe un Master 2 documentaire de création à l’Institut Supérieur de l’Image et du Son, Studio École à Ouagadougou, au Burkina-Faso.

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En 2015, elle participe aux Ateliers Varan en partenariat avec le festival Sobaté avec "Djigui", un projet qu’elle a écrit et réalisé. En 2016, elle obtient une bourse pour participer à la résidence d’écriture de l’Université d’été de la Fémis, puis une autre pour suivre une formation au cinéma au sein de la Haute École des Arts de Zurich.

Connue notamment pour son film « je danse donc je suis » (prix du meilleur film documentaire des écoles africaines de cinéma au FESPACO en 2015), « les silences de Lydie » (sélectionné au FESPACO 2017) et sa participation à de nombreux festivals en Afrique et en Europe, Aissata Ouarma profitera des facilités offertes par ce visa « passeport talent ».

Dernière modification : 09/09/2019

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